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Lors d'un forum FTTH de Telecom ParisTech, Orange, SFR, Free, Numericable, le sénateur Tregouët et Manche Numérique ont donné leurs points de vue.
Un plateau sur la mutualisation des réseaux pour le déploiement de la fibre optique à domicile (Fiber to the home ou FTTH en anglais)…avec l'ensemble des opérateurs intervenant sur ce marché. C'est le tour de force que Telecom ParisTech a réussi à monter à l'occasion de son séminaire sur le très haut débit organisé mercredi dans les locaux de l'école.
Un exercice loin d'être évident au regard des crispations liées à l'accord de mutualisation sur le déploiement de la fibre signé entre SFR et Orange (avec l'absence notoire de Free) et un cadre règlementaire qui n'est pas encore stabilisé.
Prenons un peu de recul sur le déploiement. Selon Tactis, un cabinet d'études sur les télécoms et les initiatives des collectivités dans ce domaine, on recense 30 millions de foyers FTTH dans le monde, dont 20 000 en France. On est loin de l'objectif gouvernemental des 4 millions de foyers connectés en FTTH d'ici 2012.
Un volume minimaliste rikiki qui ne prend pas en compte les efforts de Numericable qui propose des services très haut débit mais en FTTB (Fiber to the building", qui ne repose pas sur un réseau FTTH de bout en bout).
"L'Asie est le premier pourvoyeur, l'Europe est un peu à la traîne", commente son représentant Stephane Lelux, qui a animé la table ronde au nom de Tactis.
(Page suivante : la position d'Orange)
Yves Parfait, directeur du projet La Fibre chez Orange, a le privilège de présenter la vision de la FTTH vue par l'opérateur historique. La présentation de sa première offre très haut débit à domicile remonte à février 2007. Un constat d'abord : il existe "une demande pour le très haut débit" au nom de l'essor de la télévision haute définition mais aussi pour répondre au besoin de débit symétrique. Le fait de déposer une vidéo sur une plate-forme de partage vidéos comme Dailymotion nécessite un bon débit montant (upload).
"Depuis deux ans, nous développons un projet de fibre optique au niveau européen. En France, nous en sommes au stade du déploiement pré-commercial limité à Paris, les Hauts-de-Seine et une dizaine de villes en France."
Mais le déploiement à grande échelle et d'investissements conséquents a pris du retard. "Pendant six mois au moins, nous allons demeurer en phase expérimentale (…).En 2009, Orange ne songera pas à ce déploiement massif", déclare Yves Parfait.
Concernant la problématique de la mutualisation ("un exercice encore un peu difficile"), Yves Parfait résume de manière synthétique la situation : "se mettre d'accord entre opérateurs mais ne pas s'entendre". Explication de texte : oui à l'établissement de règles du jeu claires pour mutualiser les déploiements de la fibre à l'horizontal (fourreaux) et vertical (accès aux immeubles) mais non à une entente entre opérateurs visant à étouffer la concurrence.
France Telecom propose depuis le début de l'année une offre de référence pour permettre à ses concurrents d'utiliser ses fourreaux. "Il y a eu des avancées très claires, qui permettent à une opérateur concurrent d'aller dans des villes là où France Telecom n'a pas décidé d'investir", précise le Mr FTTH d'Orange.
Que se passe-t-il à l'intérieur de l'immeuble ? Les règles ne sont pas totalement fixées mais ce serait souvent "une question de bon sens" et de "pragmatisme" : pourquoi déployer une noria de fibres ? "Le premier opérateur qui obtient l'accord de la copropriété posera la fibre. Les autres opérateurs pourront se raccorder dessus", assure Yves Parfait.
Selon Orange, les opérateurs sont entrés dans une "phase concrète d'expérimentation". Avec SFR en premier lieu au nom de l'accord de mutualisation des réseaux "qui reste ouvert". "Les premières expérimentations avec Free sont réalisées aussi sans dogmatisme", assure l'interlocuteur d'Orange.
(page suivante : la position de SFR)
Au nom du "Nouvel SFR" (entité issue du rapprochement entre les groupes Neuf Cegetel et SFR), son directeur très haut débit Jérémie Manigne est d'accord sur le fait que nous sommes aux prémices du FTTH. Mais en revanche, l'échelle du temps est différente concernant la genèse des projets.
"Orange parle d'un projet qui a commencé il y a deux ans. Du côté des opérateurs alternatifs, ils n'ont la possibilité de réellement déployer un réseau FTTH que depuis septembre", explique le représentant de SFR. "On a deux ans de retard sur le programme initial." Mais cela devient concret pour SFR. Il vient d'annoncer la nouvelle version de sa box spécial fibre.
SFR se montre partant pour mener une concurrence par les infrastructures. "Nous voulons déployer notre infrastructure FTTH en propre en France et nous serons en mesure de fournir une fibre par abonné", assure Jérémie Manigne.
Mais le débat sur le nombre de fibres par foyer reste ouvert : "nous menons une autre expérimentation avec quatre fibres par abonné". Pourquoi quatre fibres ? Parce qu'il y a autre opérateurs très haut débit ? "Je ne peux pas apporter de réponses. Nous sommes prêts à le faire mais nous sommes seuls", assure-t-il.
(page suivante : la position d'Iliad/Free)
Au cours de cette table ronde, le "rebelle Free" est finalement resté raisonnable. Olivier de Baillenx, Directeur des relations institutionnelles chez le groupe Iliad/Free, a rappelé que Xavier Niel, président du directoire d'Iliad/Free, avait pris position sur le déploiement de la fibre le 11 septembre 2006 en retenant une architecture réseau de point à point (une fibre par abonné).
"Nous défendons toujours un certain nombre de critères technologiques", explique le messager du groupe. "Il faut prendre les bonnes décisions pour faire des investissements efficaces dès le départ."
En ce qui concerne la mutualisation sur le déploiement horizontal, France Telecom a avancé avec des offres de référence "mais il a fallu les pousser", précise-t-il. Pour développer la fibre à l'échelle nationale, Free compte sur les collectivités locales disposant des fourreaux. C'est déjà le cas pour une ville comme Montpellier (Hérault).
Autre point fondamental : la mutualisation verticale. "Les décrets [d'application de la loi sur la modernisation de l'économie, ndlr] doivent passer. Nous faisons la promotion qu'il est important de poser plusieurs fibres dans un foyer (…) On veut expérimenter et trouver les bonnes pratiques de cette gestion", commente Olivier de Baillenx.
Celui-ci regrette que l'accord de mutualisation des réseaux entre Orange et SFR concerne surtout la mono-fibre pour 40 villes. L'approche multi-fibres n'étant limitée qu'à deux arrondissements (un à Paris et le second à Marseille).
(page suivante : la position de Numericable)
Unique acteur du câble en France, Numericable se retrouve dans une position atypique dans le paysage du très haut débit. Il y a trois ans, le câblo-opérateur a décidé de remplacer son backbone de cuivre avec de la fibre et la migration est toujours en cours.
Malgré tout, il dispose d'une certaine avance sur les opérateurs concurrents traditionnels. Il est capable de proposer des services à 100 Mbit/s symétrique à ses clients. Certes, ce n'est pas du FTTH de bout en bout mais plutôt du FTTB (ou FTTx) : la fibre est associée au volet du déploiement horizontal tandis que le déploiement en vertical repose toujours sur du cuivre co-axial.
Résultat net : Numericable affichait déjà 100 000 clients très haut débit à le rentrée. Mais, à côté, le potentiel est énorme : 10 millions de foyers FTTH potentiels qui peuvent être rattachés à son réseau.
"4 millions de foyers localisés sur 200 villes disposent de la fibre optique au pieds de l'immeuble ou à proximité", explique Eric Denoyer, Directeur général exécutif en charge de la division Opérateurs chez Numericable. "Nous ne ferons pas évoluer le service vers le FTTH à court terme. Il n'y a pas de définition de besoins propres du groupe et du grand public dans ce sens. Il n'y a rien d'urgent."
En septembre, Numericable a inauguré sa division opérateurs afin d'ouvrir son réseau à des opérateurs tiers : l'accès aux fourreaux (fibre) pour la partie horizontale mais l'accès FTTx (vertical). Premier client à en profiter : l'offre très haut débit de Dartybox.
"Nous nous présentons comme un accélérateur, un facilitateur d'investissement pour déployer le FTTH en province", assure Eric Denoyer.
(lire dernière page : la position du sénateur Tregouët et Manche Numérique)
En qualité d'ancien sénateur du Rhône, René Tregouët s'est beaucoup intéressé au développement des "autoroutes de l'information" à la fin des années 90 mais aussi au thème de la fracture numérique.
Un thème qui reste d'actualité avec la fibre. "Si 10 millions de foyers potentiels sont potentiellement éligibles au très haut débit avec Numericable, il en manque 20 millions en France", constate le sénateur honoraire. "Dans 20 ans, un citoyen ne pourra pas exercer son métier s'il n'est pas connecté au très haut débit. C'est un délai très court."
Le vrai défi serait donc "la fibre optique partout" et une réflexion portant sur la péréquation au niveau national pour refléter "une solidarité entre le monde urbain et le monde rural".
Bon élève des collectivités locales en termes de déploiement haut débit, la Manche ne veut pas rater le coche du très haut débit. A travers le syndicat mixte Manche Numérique, ce département a déjà pris les mesures nécessaires pour proposer du 2 Mbit/s à tous les habitants (à l'exception du cas spécifique d'une cinquantaine de foyers).
Pour le très haut débit, son directeur Philippe Le Grand estime que le risque d'inégalité devant le très haut débit, observé dans toute les collectivités, est encore plus grand.
Et pourtant. "L'argent existe déjà pour le déploiement du très haut débit. A travers les réseaux d'assainissement collectif, d'eau potable, de rénovation electrique, c'est surtout une question de logistique et de coordination", assure Philippe Le Grand. Même si les délais de déploiement seront longs ("20 à 30 ans").
Avec les efforts de mutualisation des réseaux, Manche Numérique assure qu'il pourra proposer un accès au très haut débit à 50% de la population de deux agglomérations (Saint-Lô et Cherbourg) d'ici 6 mois. "SFR et Free vont venir sur ce réseau local", assure Philippe Le Grand. Pour un coût raisonnable de déploiement : entre 150 à 200 euros par opérateur et par prise.
En se creusant un peu les méninges, il y a visiblement des possibilités de déploiement rapide du FTTH sans évoquer nécessairement un trou financier…
Fibre optique : la mutualisation des réseaux
Fibre optique : la mutualisation des réseaux
Ancien client du câble - A présent chez Orange pour la fibre - Logitech Harmony One
HC : LCD SHARP LC-37XD1E + Portable HDMI - Ensemble 5.1 : Denon 1911 + enceintes TRIANGLE
Wii en attendant la PS4 ou la xbox 720.
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Bonsoir,
" il est capable de proposer des service à 100 Mbs symétrique "
Et bien nous attendons depuis longtemps ce moment et attendons de le voir pour le croire.
Mais à quel tarif aussi ?
"Nous ne ferons pas évoluer le service vers le FTTH .... "
Je pense que la concurrence fera évoluer les choses le moment venu.
"Il n'y a pas etc ... et du grand public dans ce sens "
Le service numerispace fera apprécier cette remarque le moment venu.
Cordialement
" il est capable de proposer des service à 100 Mbs symétrique "
Et bien nous attendons depuis longtemps ce moment et attendons de le voir pour le croire.
Mais à quel tarif aussi ?
"Nous ne ferons pas évoluer le service vers le FTTH .... "
Je pense que la concurrence fera évoluer les choses le moment venu.
"Il n'y a pas etc ... et du grand public dans ce sens "
Le service numerispace fera apprécier cette remarque le moment venu.
Cordialement
Fibre optique et déploiement : réunion des opérateurs mardi
http://www.generation-nt.com/fibre-opti ... 03221.html
Le gouvernement veut relancer le déploiement de la fibre optique et va réunir les opérateurs mardi afin d'établir les règles de la mutualisation.
D'ici 2012, la France ambitionne au moins 4 millions de ménages connectés au très haut débit mais pour l'heure, le déploiement de la fibre optique est l'enjeu d'une rixe entre les opérateurs stigmatisée par les récents propos du président de l'Arcep (autorité des télécoms) tenus lors d'un entretien accordé à Challenges.
" France Télécom propose à ses concurrents une offre de gros d'accès à son réseau génie civil pour le déploiement de la fibre en horizontal (souterrain). C'est sur la partie terminale, en vertical (dans les immeubles), qu'il veut imposer sa solution : la pose d'une fibre unique à laquelle se raccorderaient les concurrents. Cela pourrait en handicaper certains, tel Iliad-Free qui utilise une autre technologie. [...] Je m'interroge sur les raisons du blocage depuis l'été, par l'opérateur historique, des discussions sur le câblage terminal. [...] Ce blocage entretenu freine le branchement effectif des domiciles ", a déclaré Paul Champsaur.
L'opérateur historique n'a pas manqué de réagir rapidement suite aux déclarations de Champsaur, et dans un communiqué de parler de procès d'intention, en rappelant qu'un accord a été signé avec SFR afin d'expérimenter sur une partie du territoire la solution monofibre qui lui tient à coeur, mais également la solution multifibres (quatre fibres par client). De son côté, Free aurait refusé toutes les propositions d'accord qui lui ont été présentées.
" Free exige le déploiement systématique de la solution multifibres non encore expérimentée et prive ainsi largement les habitants des immeubles fibrés par ses soins, notamment à Paris, de la liberté de choisir un autre opérateur. Free bloque ainsi la mise en oeuvre d'un accord général sur la mutualisation du fibrage vertical, préalable indispensable au déploiement à grande échelle de la fibre ", a indiqué France Télécom.
Réunion de crise ?
Sans doute las de voir ses plans de très haut débit malmenés par ces querelles, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique a décidé de réunir demain tout ce beau monde. Selon l'AFP, un comité de pilotage comprenant Orange, SFR, Iliad, Numericable, Axione et Sequalum sera lancé, chacun de ces opérateurs s'engageant à " participer à l'une et/ou à l'autre des deux expérimentations de déploiement ". A l'issue, fin mars 2009, viendra le temps de la décision finale pour dégager un modèle plutôt qu'un autre.
http://www.generation-nt.com/fibre-opti ... 03221.html
Le gouvernement veut relancer le déploiement de la fibre optique et va réunir les opérateurs mardi afin d'établir les règles de la mutualisation.
D'ici 2012, la France ambitionne au moins 4 millions de ménages connectés au très haut débit mais pour l'heure, le déploiement de la fibre optique est l'enjeu d'une rixe entre les opérateurs stigmatisée par les récents propos du président de l'Arcep (autorité des télécoms) tenus lors d'un entretien accordé à Challenges.
" France Télécom propose à ses concurrents une offre de gros d'accès à son réseau génie civil pour le déploiement de la fibre en horizontal (souterrain). C'est sur la partie terminale, en vertical (dans les immeubles), qu'il veut imposer sa solution : la pose d'une fibre unique à laquelle se raccorderaient les concurrents. Cela pourrait en handicaper certains, tel Iliad-Free qui utilise une autre technologie. [...] Je m'interroge sur les raisons du blocage depuis l'été, par l'opérateur historique, des discussions sur le câblage terminal. [...] Ce blocage entretenu freine le branchement effectif des domiciles ", a déclaré Paul Champsaur.
L'opérateur historique n'a pas manqué de réagir rapidement suite aux déclarations de Champsaur, et dans un communiqué de parler de procès d'intention, en rappelant qu'un accord a été signé avec SFR afin d'expérimenter sur une partie du territoire la solution monofibre qui lui tient à coeur, mais également la solution multifibres (quatre fibres par client). De son côté, Free aurait refusé toutes les propositions d'accord qui lui ont été présentées.
" Free exige le déploiement systématique de la solution multifibres non encore expérimentée et prive ainsi largement les habitants des immeubles fibrés par ses soins, notamment à Paris, de la liberté de choisir un autre opérateur. Free bloque ainsi la mise en oeuvre d'un accord général sur la mutualisation du fibrage vertical, préalable indispensable au déploiement à grande échelle de la fibre ", a indiqué France Télécom.
Réunion de crise ?
Sans doute las de voir ses plans de très haut débit malmenés par ces querelles, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique a décidé de réunir demain tout ce beau monde. Selon l'AFP, un comité de pilotage comprenant Orange, SFR, Iliad, Numericable, Axione et Sequalum sera lancé, chacun de ces opérateurs s'engageant à " participer à l'une et/ou à l'autre des deux expérimentations de déploiement ". A l'issue, fin mars 2009, viendra le temps de la décision finale pour dégager un modèle plutôt qu'un autre.
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Wii en attendant la PS4 ou la xbox 720.
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- Maxximum
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Communiqué de Numericable :
FIBRE OPTIQUE :
NUMERICABLE CONCLUT UN ACCORD DE COOPERATION AVEC FRANCE TELECOM ET SFR
A l’issue de la première réunion du Comité de Pilotage du Très Haut Débit, Numericable a annoncé la conclusion d’un accord avec France Telecom et SFR pour la conduite d’expérimentations de déploiement de la fibre optique.
Cet accord souligne l’importance des infrastructures de Numericable déjà en place, qui pourront faciliter le déploiement de la fibre optique de tous les opérateurs, dans le cadre défini par la Loi de Modernisation de l’Economie. Les habitants de chaque immeuble des zones concernées par l’expérimentation auront ainsi le choix entre au moins trois opérateurs.
Numericable confirme par ailleurs sa volonté de conclure avec d’autres opérateurs des accords de mutualisation respectueux des différentes architectures techniques, sans en privilégier ou en écarter aucune.
Outre ces expérimentations, Numericable continue à contribuer à grande échelle à la conversion du marché au Très Haut débit. Dès aujourd’hui, le réseau de Numericable compte 4 millions de prises raccordées à la fibre optique. Au 31 août 2008, Numericable comptait 104.000 clients Internet 100 mégas.
A la sortie de cette première réunion du Comité de Pilotage du Très Haut Débit, Pierre Danon, Président de Numericable Completel, a déclaré : « Sous l’impulsion d’Eric Besson et de l’ARCEP, les expérimentations en cours et à venir participeront à une adoption plus rapide de la fibre optique par le consommateur. L’accord conclu aujourd’hui par Numericable avec France Telecom et SFR en est une des premières illustrations. »