Voilà tous les articles parus dans l'édition de Le Parisien le samedi 10/02.
La chute continue.
Quand on lit ça 2 jours après le chat avec Mr Besnier, on est vraiment sur une autre planète.
Vent de colère chez les clients de Noos
C'EST LA RÉVOLTE. Erreurs de facturation, service non fourni, assistance téléphonique inconsistante, service clients désastreux, important plan social... Un peu partout en France, le câblo-opérateur Noos-Numericable fait face depuis plusieurs mois à une colère croissante de ses clients et de certains salariés.
Une colère dont notre journal est allé prendre le pouls à travers l'Ile-de-France, au moment où le groupe fait face à une nouvelle attaque. Une plainte pour « publicité mensongère, abus de biens sociaux et tromperie » a été déposée le 2 février auprès de la gendarmerie de Vitré (Ille-et-Vilaine) par le Collectif des déçus du câble, une association regroupant quelque quatre cents consommateurs furieux. Créée l'année dernière à Vitré, à la suite « d'un gros problème » sur le réseau câblé de cette ville, l'association avait déjà organisé, en décembre, une manifestation devant les locaux rennais du câblo-opérateur. « Nous sommes ulcérés. Noos-Numericable ne tient aucun compte de ses clients, qui sont simplement considérés comme des vaches à lait. Nous invitons tous les déçus du câble à rejoindre notre action », expliquait hier à notre journal le président de l'association, Marcel Lacour, pour justifier son passage à la vitesse supérieure.
L'opérateur pointe « des propos diffamants, inexacts et dénigrants »
Pour faire bonne mesure, le collectif a également saisi, le 7 février, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, la DGCCRF. Autant d'actions que le câblo-opérateur ne goûte guère. Evoquant « des propos diffamants, inexacts et dénigrants », Noos- Numericable réagissait hier vivement : « Cette situation est d'autant plus inacceptable que, outre le préjudice commercial considérable, elle porte atteinte à l'image et à la réputation des sociétés Numéricable et Noos qui examinent actuellement l'introduction d'une action visant à condamner les pratiques illicites de M. Lacour. » Membre de l'Association française des utilisateurs de télécommunications (Afutt), Christophe Bongars confirme : « Il y a de nombreux problèmes avec Noos- Numericable , un phénomène renforcé par le fait que la société est en pleine restructuration. » Depuis l'été 2006, Noos-Numéricâcle appartient à la société Ypso, elle-même propriété du fonds d'investissement britannique Cinven et du câblo-opérateur luxembourgeois Altice.
Le Collectif des déçus du câble, M. Marcel Lacour, 83, bld des Rochers, 35500 Vitré. Tél 02.99.75.83.76. Fax : 02.99.75.10.53. Mail : marcel.lacour/libertysurf.fr.
Source: Le parisien
Noos: la colère des clients (Le parisien 10/02)
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Noos: la colère des clients (Le parisien 10/02)
Modifié en dernier par Nico! le sam. 10 févr. 2007, 17:37, modifié 1 fois.
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Scène d'émeute dans une boutique parisienne
LA PORTE BLEUE s'entrouvre timidement. Un jeune homme à l'air furieux se dirige droit comme une flèche vers le magasin, rembarre le vigile posté à l'entrée et pénètre en hurlant. Et là, c'est la ruée : la petite foule qui patiente à l'extérieur depuis des heures s'écrase nez contre la porte.
Un client proteste : « Il n'a pas fait la queue et vous le laissez entrer ? » Le vigile tente de l'apaiser... mais les cris fusent : « Ouvrez-nous ! » « On n'en peut plus d'attendre ! » « Voleurs ! » Un client glisse son pied dans l'embrasure de la porte pour la bloquer mais le vigile tient bon et arrive à la fermer. Une femme s'énerve contre un voisin qui la serre d'un peu trop près : « Arrêtez de me pousser, Monsieur, vous ne passerez pas avant moi. » L'autre riposte : « Je travaille, moi, et j'ai pris ma matinée pour venir ici ! » Des passants s'esclaffent, un cycliste passe et s'exclame : « Fallait pas s'abonner à Noos ! » Voilà une scène devenue banale tant elle se répète depuis quelques semaines au pied du magasin Noos, qui gère aussi le service après-vente, situé place de la République (XI e ), à Paris. Jeudi dernier, ils étaient une vingtaine, venus des quatre coins de la capitale, à faire la queue dehors et à lier connaissance autour d'un seul et unique sujet de conversation : Noos, les pannes et les surfacturations.
« J'ai la hantise qu'ils m'envoient les huissiers »
« Je me suis abonné il y a un mois et mon téléphone ne fonctionne déjà plus ! explique Jihane, 25 ans. En pleine recherche d'emploi, j'ai dû m'acheter des cartes téléphoniques pour passer les coups de fil et appeler la hot line de Noos qui coûte un max ! » A côté d'elle, Koffi, cuistot de 32 ans, reste zen : « C'est la troisième fois que je viens pour me faire rembourser 100 € qui m'ont été facturés à tort... Et à chaque fois, ça frisait l'émeute ; j'ai même vu les flics débarquer une fois pour séparer un vendeur d'un client furieux. » Emma, 40 ans, est presque au bord des larmes. « J'ai résilié mon abonnement en novembre et les factures continuent à tomber chaque mois ! J'ai bloqué mon compte mais j'ai la hantise qu'ils m'envoient les huissiers... » Didier, illustrateur, a son mot à dire lui aussi : « Et moi, après avoir résilié, j'ai restitué mon modem à Noos et ils s'acharnent à me le facturer 50 € ! » Un retraité venu de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) le coupe : « J'ai dépensé 75 € de cartes téléphoniques : en un mois, trois techniciens sont venus vérifier mon système Internet en me promettant à chaque fois que cela se mettrait en route dans les deux heures... Et toujours rien sur mon écran. »
Géraldine Doutriaux
Le Parisien , samedi 10 février 2007
LA PORTE BLEUE s'entrouvre timidement. Un jeune homme à l'air furieux se dirige droit comme une flèche vers le magasin, rembarre le vigile posté à l'entrée et pénètre en hurlant. Et là, c'est la ruée : la petite foule qui patiente à l'extérieur depuis des heures s'écrase nez contre la porte.
Un client proteste : « Il n'a pas fait la queue et vous le laissez entrer ? » Le vigile tente de l'apaiser... mais les cris fusent : « Ouvrez-nous ! » « On n'en peut plus d'attendre ! » « Voleurs ! » Un client glisse son pied dans l'embrasure de la porte pour la bloquer mais le vigile tient bon et arrive à la fermer. Une femme s'énerve contre un voisin qui la serre d'un peu trop près : « Arrêtez de me pousser, Monsieur, vous ne passerez pas avant moi. » L'autre riposte : « Je travaille, moi, et j'ai pris ma matinée pour venir ici ! » Des passants s'esclaffent, un cycliste passe et s'exclame : « Fallait pas s'abonner à Noos ! » Voilà une scène devenue banale tant elle se répète depuis quelques semaines au pied du magasin Noos, qui gère aussi le service après-vente, situé place de la République (XI e ), à Paris. Jeudi dernier, ils étaient une vingtaine, venus des quatre coins de la capitale, à faire la queue dehors et à lier connaissance autour d'un seul et unique sujet de conversation : Noos, les pannes et les surfacturations.
« J'ai la hantise qu'ils m'envoient les huissiers »
« Je me suis abonné il y a un mois et mon téléphone ne fonctionne déjà plus ! explique Jihane, 25 ans. En pleine recherche d'emploi, j'ai dû m'acheter des cartes téléphoniques pour passer les coups de fil et appeler la hot line de Noos qui coûte un max ! » A côté d'elle, Koffi, cuistot de 32 ans, reste zen : « C'est la troisième fois que je viens pour me faire rembourser 100 € qui m'ont été facturés à tort... Et à chaque fois, ça frisait l'émeute ; j'ai même vu les flics débarquer une fois pour séparer un vendeur d'un client furieux. » Emma, 40 ans, est presque au bord des larmes. « J'ai résilié mon abonnement en novembre et les factures continuent à tomber chaque mois ! J'ai bloqué mon compte mais j'ai la hantise qu'ils m'envoient les huissiers... » Didier, illustrateur, a son mot à dire lui aussi : « Et moi, après avoir résilié, j'ai restitué mon modem à Noos et ils s'acharnent à me le facturer 50 € ! » Un retraité venu de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) le coupe : « J'ai dépensé 75 € de cartes téléphoniques : en un mois, trois techniciens sont venus vérifier mon système Internet en me promettant à chaque fois que cela se mettrait en route dans les deux heures... Et toujours rien sur mon écran. »
Géraldine Doutriaux
Le Parisien , samedi 10 février 2007
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Le plan social désorganise l'entreprise
LA COLÈRE des abonnés de Noos SA et le gigantesque trouble dans lequel se trouve le câblo-opérateur ont pour origine en partie le plan social qui découle d'une succession de rachats d'entreprises concurrentes. Au total, ce plan prévoit 832 licenciements sur les 1 450 salariés que compte la société, essentiellement sous forme de départs volontaires. La fermeture programmée des sites de Paris-Bercy et de Palaiseau (Essonne) est effective depuis le 31 décembre dernier.
Les salariés avaient appris la nouvelle peu avant Noël. Dernier propriétaire en date, le fonds d'investissement Altice et Cinven, déjà propriétaire de Numéricable, vient de racheter UPC-Noos. Mais 692 salariés de Noos avaient déjà été remerciés il y a un an et demi, lors du rachat de Noos par UPC... Dans ce laps de temps, la société a donc perdu des techniciens expérimentés et des salariés susceptibles de répondre aux demandes techniques des clients excédés.
« On a conseillé à mon mari de bricoler lui-même le boîtier »
Dans ce secteur où les employés valsent au gré des OPA (offre publique d'achat), la démotivation du personnel ne vient pas arranger les choses. Ainsi, selon la direction de Noos SA, « la ligne technique enregistre chaque jour 4 000 appels de clients mécontents ». On assure que parmi ces derniers « 80 % sont le fait d'incidents de facturation ». Il n'empêche que les témoignages de clients sans solution affluent chaque jour un peu plus nombreux. « On a conseillé à mon mari de bricoler lui-même le boîtier », assure une cliente excédée. Depuis le 1 e r février, Noos SA a rapatrié à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne) plus de un million de comptes clients délocalisés aux Pays-Bas. Une opération qui devrait permettre d'améliorer le service et surtout d'éviter les centaines de problèmes de facturation constatés ces dernières semaines. Mais pour la direction, « le retour à une situation satisfaisante prendra du temps ».
Gilles Cordillot
Le Parisien , samedi 10 février 2007
LA COLÈRE des abonnés de Noos SA et le gigantesque trouble dans lequel se trouve le câblo-opérateur ont pour origine en partie le plan social qui découle d'une succession de rachats d'entreprises concurrentes. Au total, ce plan prévoit 832 licenciements sur les 1 450 salariés que compte la société, essentiellement sous forme de départs volontaires. La fermeture programmée des sites de Paris-Bercy et de Palaiseau (Essonne) est effective depuis le 31 décembre dernier.
Les salariés avaient appris la nouvelle peu avant Noël. Dernier propriétaire en date, le fonds d'investissement Altice et Cinven, déjà propriétaire de Numéricable, vient de racheter UPC-Noos. Mais 692 salariés de Noos avaient déjà été remerciés il y a un an et demi, lors du rachat de Noos par UPC... Dans ce laps de temps, la société a donc perdu des techniciens expérimentés et des salariés susceptibles de répondre aux demandes techniques des clients excédés.
« On a conseillé à mon mari de bricoler lui-même le boîtier »
Dans ce secteur où les employés valsent au gré des OPA (offre publique d'achat), la démotivation du personnel ne vient pas arranger les choses. Ainsi, selon la direction de Noos SA, « la ligne technique enregistre chaque jour 4 000 appels de clients mécontents ». On assure que parmi ces derniers « 80 % sont le fait d'incidents de facturation ». Il n'empêche que les témoignages de clients sans solution affluent chaque jour un peu plus nombreux. « On a conseillé à mon mari de bricoler lui-même le boîtier », assure une cliente excédée. Depuis le 1 e r février, Noos SA a rapatrié à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne) plus de un million de comptes clients délocalisés aux Pays-Bas. Une opération qui devrait permettre d'améliorer le service et surtout d'éviter les centaines de problèmes de facturation constatés ces dernières semaines. Mais pour la direction, « le retour à une situation satisfaisante prendra du temps ».
Gilles Cordillot
Le Parisien , samedi 10 février 2007
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« Si je pouvais, je créerais un blog »
JEAN-YVES NANCY a lancé une pétition
MILLE, CINQ MILLE ? Impossible de déterminer le nombre des abonnés qui sont sans réseau au nord-ouest de la Seine-et-Marne. Mais, ceux qui se pressent dans les mairies ou au siège social d'UPC-Noos, à Champs-sur-Marne, le disent avec colère : le grand bogue dure depuis le 14 décembre et ils n'en peuvent plus. Jean-Yves Nancy est de ceux-là mais, lui, attaque l'opérateur en justice et veut rencontrer le médiateur de la République.
« Internet ne fonctionne pas depuis septembre et je n'ai jamais vu un technicien, malgré toutes les promesses qu'on m'a faites. Le téléphone est fantaisiste. Quant à la télévision, nous venons de récupérer, ô miracle, les cinq chaînes hertziennes contre les 140 promises », tempête cet habitant du quartier Orlyparc, à Lagny-sur-Marne. Furieux, il a lancé une pétition, qui, faute d'Internet, est placée dans trois pharmacies. Le bouche-à-oreille fait son oeuvre : cent vingt signatures en quelques jours. « Si je pouvais, je créerais un blog ! » s'exclame-t-il. Il raconterait les visites à l'accueil clients de Champs, malgré la mucoviscidose qui le handicape, ses lettres restées sans réponse, les relances de l'opérateur depuis qu'il refuse de payer les 70 € de son abonnement mensuel... Militant associatif et politique, Jean-Yves abuse de son portable, une facilité coûteuse.
Faire respecter une convention signée en 1995
Le Syndicat mixte de vidéocommunication de l'Est parisien (Symvep), qui regroupe douze grandes villes du département dont Lagny, va mettre en demeure UPC-Noos de respecter la convention de délégation de service public, signée en 1995, pour trente ans. « La convention, qui ne porte que sur la télévision, prévoit l'intervention d'un technicien dans les quatre heures et pas dans les six à huit semaines, dénonce le président du Symvep, René Lacombe. Nous irons en justice si tout n'est pas rentré dans l'ordre dans un mois. »
Julie Cloris
Le Parisien , samedi 10 février 2007
JEAN-YVES NANCY a lancé une pétition
MILLE, CINQ MILLE ? Impossible de déterminer le nombre des abonnés qui sont sans réseau au nord-ouest de la Seine-et-Marne. Mais, ceux qui se pressent dans les mairies ou au siège social d'UPC-Noos, à Champs-sur-Marne, le disent avec colère : le grand bogue dure depuis le 14 décembre et ils n'en peuvent plus. Jean-Yves Nancy est de ceux-là mais, lui, attaque l'opérateur en justice et veut rencontrer le médiateur de la République.
« Internet ne fonctionne pas depuis septembre et je n'ai jamais vu un technicien, malgré toutes les promesses qu'on m'a faites. Le téléphone est fantaisiste. Quant à la télévision, nous venons de récupérer, ô miracle, les cinq chaînes hertziennes contre les 140 promises », tempête cet habitant du quartier Orlyparc, à Lagny-sur-Marne. Furieux, il a lancé une pétition, qui, faute d'Internet, est placée dans trois pharmacies. Le bouche-à-oreille fait son oeuvre : cent vingt signatures en quelques jours. « Si je pouvais, je créerais un blog ! » s'exclame-t-il. Il raconterait les visites à l'accueil clients de Champs, malgré la mucoviscidose qui le handicape, ses lettres restées sans réponse, les relances de l'opérateur depuis qu'il refuse de payer les 70 € de son abonnement mensuel... Militant associatif et politique, Jean-Yves abuse de son portable, une facilité coûteuse.
Faire respecter une convention signée en 1995
Le Syndicat mixte de vidéocommunication de l'Est parisien (Symvep), qui regroupe douze grandes villes du département dont Lagny, va mettre en demeure UPC-Noos de respecter la convention de délégation de service public, signée en 1995, pour trente ans. « La convention, qui ne porte que sur la télévision, prévoit l'intervention d'un technicien dans les quatre heures et pas dans les six à huit semaines, dénonce le président du Symvep, René Lacombe. Nous irons en justice si tout n'est pas rentré dans l'ordre dans un mois. »
Julie Cloris
Le Parisien , samedi 10 février 2007
Combien de fois dois-je vous répéter que c'est juste une phase de moindre performance ? 
Je sais que cela ne nous apportera rien, mais juste pour le plaisir j'espère que les responsables de ce foutoir se feront virer à coup de pompe dans le derrière car vu leur incompétence TOTALE c'est la seule chose qu'ils méritent
Je sais que cela ne nous apportera rien, mais juste pour le plaisir j'espère que les responsables de ce foutoir se feront virer à coup de pompe dans le derrière car vu leur incompétence TOTALE c'est la seule chose qu'ils méritent
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Mercyland
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heddad2
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ça devient du tout et du n'importe quoi entre une à qui on lui dit que son mari doit bricoler sa box :D les autre avec qui ça se termine en émeute ou en pleurs!!! 
je savais les parisiens stressé(ce n'est pas moi qui le dit mais leur réputation)je me plains parce qu'à dijon nous n'avons pas les nouvelles chaînes promises et suis dès fois jaloux(mea culpa, gloups
) de la région parisienne qui obtient avant nous toutes les chaînes mais aquand je vois ce qui se passe là bas depuis 2 mois, finalement je préfère patienter au calme (dans notre agence, tout se passe efficacement sans la queue et sans émeute) en province; vive la province! 
Il y a beaucoup de légendes qui ont la vie dureheddad2 a écrit :...Je suis dès fois jaloux(mea culpa, gloups
Les copains de province qui viennent sur Paris pour bosser changent vite d'avis après un ou deux mois passés ici
Mais bon en france on aime bien taper sur Paris et le rendre coupable de tous les maux.
Pour en revenir au cable je pense que nous sommes tous sur un pied d'égalité.
En fait Noos a plein de défauts mais on peut dire qu'ils ne font pas de discrimination; nous sommes tous égaux devant leur service médiocre
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Mercyland
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heddad2
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c'est bien ce que je dis. c'est des légendes tout ça! :o noos ne fais pas de différence entre paris et la province. tout le monde est servi à la même sauce
d'autre part, j'ai l'impression que depuis la fusion il n'y a que des problèmes plus qu'avant(avant, c'était le cas aussi mais moins!)
ensuite, je vois trois possibilités à cet incroyable bazar que l'on constate actuellement:
1- le cable, à la différence des states, n'a jamais fait parti des moeurs françaises (à la différence du satellite)
2-le jm'en foutisme des dirigeants du cable
3- les travaux pour la fibre optique qui perturbent la réception
bref la cacophonie!
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baraban
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Salut,
Nous à Lyon en zone Numericable on a toutes les chaînes diffusées sur Paris (et même plus, on a des chaînes étrangères non diffusées chez Noos)... tout en habitant en province :P . Il faut avouer que de ce point de vue là que ce soit NC NumériCABLE (C+) ou Numericable on n'a jamais subi de discriminations en ce qui concerne la réception de chaînes :) .
Mais effectivement les dirigeant actuels sont les spécialistes de la langue de bois et des effets d'annonce...
A+
Baraban
Nous à Lyon en zone Numericable on a toutes les chaînes diffusées sur Paris (et même plus, on a des chaînes étrangères non diffusées chez Noos)... tout en habitant en province :P . Il faut avouer que de ce point de vue là que ce soit NC NumériCABLE (C+) ou Numericable on n'a jamais subi de discriminations en ce qui concerne la réception de chaînes :) .
Mais effectivement les dirigeant actuels sont les spécialistes de la langue de bois et des effets d'annonce...
A+
Baraban